
Solutions numériques pour un journalisme innovant en Tunisie, au Maroc et en Algérie
MEDIA LOVES TECH cherche à identifier les meilleurs concepts numériques pour un journalisme innovant et de qualité. Lancé par DW Akademie, le centre de la Deutsche Welle pour le développement international des médias, la formation journalistique et le transfert de connaissances, ce concours est ouvert aux journalistes, start-ups, chefs de projet, esprits créatifs, développeurs, designers, membres de la société civile et à toute autre personne ou organisation qui souhaite apporter leur contribution, par le biais de l’innovation – vers un paysage médiatique de qualité en Tunisie, au Maroc et en Algérie.
La meilleure innovation numérique pour le futur du journalisme en Tunisie, au Maroc et en Algérie recevra 10 000 €.
MEDIA LOVES TECH est une initiative de DW Akademie en coopération avec l’ONG tunisienne Al Khatt. Ce projet est financé par le ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ).
Les étapes de la compétition

À propos de la compétition
MEDIA LOVES TECH cherche à identifier les meilleurs concepts numériques pour un journalisme innovant et de qualité. Lancée par DW Akademie, organisation leader en Allemagne dans le développement international des médias, cette compétition est ouverte aux journalistes, startupeurs , porteurs de projets, créatifs, développeurs, designers, société civile, tout acteur individuel ou organisation qui souhaite innover pour un paysage médiatique de qualité en Tunisie, au Maroc et en Algérie.
La meilleure innovation numérique pour le futur du journalisme en Tunisie, au Maroc ou en Algérie recevra 10 000 €.
MEDIA LOVES TECH est une initiative de DW Akademie en coopération avec l’ONG médias Al Khatt en Tunisie. Ce projet est financé par la coopération allemande, notamment par le Ministère de la Coopération Internationale de l’Allemagne.
Objectif de la compétition
L’objectif de MEDIA LOVES TECH est d’identifier et de permettre la mise en œuvre de solutions efficaces pour les enjeux et les problématiques des médias et du journalisme en Tunisie, au Maroc et en Algérie. Pour cela, MEDIA LOVES TECH s’inscrit dans le nouvel esprit technologique du crowdsourcing, soit la collaboration d’internautes en réseau pour générer ensemble des services, des idées ou des contenus. Crowdsourcing signifie approvisionnement par la foule, un procédé de partage de l’information qui stimule le foisonnement d’idées et la créativité.

Thèmes de la compétition
D’une manière générale, MEDIA LOVES TECH recherche :
- des solutions au problème de l’accès à l’information ;
- des outils qui facilitent le travail des journalistes et des médias (traitement des données/organisation/visualisation) ;
- des idées qui améliorent l’interaction des médias avec le public (tracking, mesure d’audience, engagement, feedbacks).
Journalisme scientifique
Des solutions qui permettent aux journalistes d’assurer une meilleure couverture de l’actualité scientifique, de sa vulgarisation et de sa diffusion au grand public.
Journalisme citoyen – connecter avec les communautés locales :
Des outils qui permettent de toucher des audiences spécifiques, des outils permettant de connecter les journalistes citoyens aux médias afin d’étendre la capacité de production et de consommation à de nouvelles catégories d’audience.
Vérification des contenus (fact-checking) / lutte contre la désinformation et les fake news :
Dans un contexte politique fragile, notamment lors de périodes électorales ou de périodes de crises, Tunisiens, Marocains et Algériens ont du mal à distinguer l’information de la mésinformation. Des propos sont souvent partagés sans spécifier le contexte, des articles et rapports interprètent souvent les faits de manière non précise, sans considérer les nuances.
Couverture d’élections :
À l’approche d’élections, les médias auront besoin d’outils pour assurer une couverture de qualité.
Datajournalisme :
Développer des outils et technologies pouvant aider les médias à analyser, traiter ou visualiser des données.
Viabilité des médias :
Des outils innovants pour assurer la viabilité économique et financière de projets médias.
Dialogue avec les pouvoirs publics :
Outils contribuant à une plus grande transparence de l’action publique et qui favorisent le dialogue entre citoyens et décideurs politiques et économiques.
Information en période de crise :
Outils contribuant à la diffusion d’informations d’utilité publique et à la mise en place de solutions pour le grand public dans le but de mieux affronter une crise (sanitaire, environnementale, économique ou politique).
Exploitation des nouvelles technologies :
Les progrès récents de l’intelligence artificielle le montrent : les potentiels pour les rédactions sont énormes ! Mais comment utiliser l’IA (et bien d’autres technologies) à bon escient pour soutenir un journalisme de qualité. À vous de nous le dire !
Qu’y a-t-il à gagner ?
MEDIA LOVES TECH c’est une compétition et un programme d’incubation.
Étape 1 : la compétition
Sélection des meilleurs concepts. Les concepts peuvent être soumis jusqu’au 15 juillet 2023.
Étape 2 : le programme d’incubation
Le programme d’accompagnement se tient de septembre à novembre 2023 et se déroulera en plusieurs étapes. À chaque étape, les équipes profiteront d’un appui pour accélérer le développement de leur projet.
MEDIA LOVES TECH, c’est à la fois :
– de la flexibilité avec une alternance entre des formations en ligne et des masterclasses
– des experts à la demande
– du networking et des opportunités, même après le programme
– une communauté d’entrepreneur.se.s et d’expert.e.s.
Le meilleur projet recevra un financement de 10 000 € qui sera remis à l’équipe gagnante lors de la cérémonie de clôture, le 7 décembre 2023.
Règlement
Les règlements complets de l’édition 2023 sont à consulter ici.
En cas de doute, vous pouvez aussi consulter la Foire Aux Questions (F.A.Q.).Si vous avez encore des questions à ce stade-ci, n’hésitez pas à nous contacter.

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MEDIA LOVES TECH est financé par le ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ) et l’Union européene.